Le mot de remerciement de Reem Al Ghazzi

Si le cauchemar n’a que trop duré, quelque chose brille de temps en temps dans le ciel, comme toi aujourd’hui.

En t’attendant, et en les attendant, beaucoup de choses se sont passées, 

cela nous a beaucoup changés, mais pas encore guéris.

 Les absents connaissent leur état, tandis que pour les autres, à l’étranger, le temps s’arrête en leur absence… ou se poursuit-il,  …peut-être est-ce le cas aujourd’hui avec vous? 

Un jour… j’ai ouvert les yeux avec l’espoir… que la réalité soit plus belle que le rêve… qu’une vision ressemble à mon cœur

Un jour… un jour où ce que je désire être s’accorde avec qui je suis sans impossible entre les deux

Sommes-nous ceux qui existent ? Êtes-vous les absents ?

Comment se fait-il que vous n’ayez pas quitté notre regard… pas un instant ?

Comment ce dernier moment est-il devenu éternel ?

Un jour… j’ai ouvert les yeux sur l’espoir… que guérir c’est accepter… que l’acceptation c’est le rêve

 Le rêve n’est plus impossible, Samira, peut-être a-t-il simplement changé de couleur.

 Et ce prix est venu aujourd’hui comme une invitation joyeuse à persister dans l’espérance.

 Merci du fond de mon coeur.

Reem Al Ghazzi